Présentation spontannée: Dans la vraie vie, je suis une fille aux cheveux chatains clair qui tente de se cacher des autres en ne mettant que des vêtements noirs couvrant le plus possible le corps (et croyez moi qu'en plein été, c'est dur >< )
C'est la fille qui tente de s'incruster parfois sans délicatesse et qu'on accepte parce qu'on est poli et sans doute aussi parce qu'elle nous fait un peu pitié.
Elle dit tout ce qu'il lui passe par la tête, des réflexions philosophiques aux références incompréhensibles tout en ayant pas la moindre culture générale. Oui, je l'avoue, je n'ai jamais vu Titanic ou V pour Vendéta: mon univers est fait du Seigneur des Anneaux et de Traquemort soupoudré d'une touche de manga (parce que Sebast'chan c'est le plus beau <3 ).
Elle a vécu plus longtemps que bien des fourmis mais pas assez pour avoir le permi; elle mange beaucoup plus que bien des fourmis mais a fait tellement moins de choses utiles. Elle a blessé sans le vouloir, se goinfre de chansons joyeuses en espérant y trouver quelque énergie mais ne réussi qu'à sauter d'une humeur à l'autre sans y comprendre grand chose.
Elle ne sait toujours pas ce qui la définit et tente tout un tas d'expériences sans succès et n'en retire que des obligations. Elle a rêvé sa mort de plein de façons différentes juste par curiosité et vient de remarquer que, quand la barrière défile, les smileys s'immobilisent.
Elle se permet bien des choses sauf une: oublier.

Je suis franche au possible car on m'a dit une fois que parler permettait de mettre dans un espace "réel" tous nos mots pour mieux les comprendre. Je pense que je prend un point de vue extérieur parce qu'à l'intérieur c'est un chaos total et que ça me permet une meilleure impartialité mais je ne pourrait exclure la non-reconnaissance de ce que je suis.
A la question: toute vérité est-elle bonne à dire, je réponds que oui, parce que ne pas dire la vérité c'est considérer les gens comme plus faibles que soit car incapable de la supporter.
Je réponds non parce que les autres pourraient retourner cette vérité contre toi.
Je réponds qu'il faut avant tout assumer et que c'est ce que je m'efforce de faire.
Je réponds qu'il n'y a jamais une seule vérité.